En trois jours, les nouvelles sont passées d’un enthousiaste « la sonde spatiale Osiris-Rex a récolté de la poussière d’astéroïde! » à un inquiétant « elle perd sa poussière dans l’espace ». Ou ce qui arrive quand un contenant est trop petit pour une récolte à 300 millions de kilomètres…
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Pour convaincre les autres du bien-fondé de leurs arguments, les conspirationnistes utilisent différents mécanismes. Mieux les comprendre pourrait aider à s’en protéger.
Une nouvelle rumeur sur les masques a bénéficié de la visibilité apportée par Trump lui-même: une étude des Centres de contrôle des maladies (CDC) aurait soi-disant prouvé que le masque est inutile contre la COVID-19, puisque 85 % des gens qui le portent contractent la maladie. Le Détecteur de rumeurs a vérifié.
Alourdir une couverture permet-il de soulager le stress et de lutter contre l’insomnie? C’est la prétention des promoteurs des couvertures dites « lestées » ou « apaisantes ». Le Détecteur de rumeurs s’est penché là-dessus.
Défié par certains, nié par d’autres, le consensus scientifique demeure le rempart collectif pour contrer la désinformation et répondre aux sceptiques et complotistes. En parler est dans l’air du temps en raison de la COVID-19 et de la litanie d’opinions relayées dans les médias: les uns déplorent l’absence de ce consensus tandis que les autres l’invoquent pour expliquer la situation. Le Détecteur de rumeurs propose de remettre les pendules à l’heure.
Le soir du 30 octobre 1938, veille de l’Halloween, Orson Welles diffuse à la radio une adaptation du roman de H. G. Wells, La Guerre des mondes. Composée d’une succession de faux bulletins de nouvelles, l’émission raconte l’invasion de la Terre par des Martiens. Depuis, une légende est née: quantité d’Américains paniqués auraient tenté de fuir. Le Détecteur de rumeurs sépare le vrai du faux.
En Europe, un sondage suggère que plus de la moitié de la population se sent « fatiguée » et « démotivée » face à la résurgence de la Covid. Aux États-Unis, la résurgence est telle que certains en parlent déjà comme d’une troisième vague.
Les groupes écologistes sont-ils plus politisés et plus engagés dans la sphère publique qu’auparavant? La lutte contre les changements climatiques et celle de la justice environnementale sont désormais les deux sujets qui tiennent particulièrement à cœur aux organisations non gouvernementales (ONG) en environnement, met en lumière une récente étude, parue dans PLoS One.
On a souvent fait état de rencontres entre nos ancêtres Homo sapiens et nos cousins Néandertaliens, qui ont laissé des traces de ces derniers parmi nos gènes. Remontant encore plus loin dans le temps, des chercheurs viennent d’identifier un chromosome d’Homo sapiens qui a pris la place de son homologue néandertalien il y a plus de 100 000 ans, peut-être même plus de 300 000 ans.
Depuis une dizaine d’années, l’arbre généalogique de nos ancêtres préhistoriques s’est complexifié. À l’Homo sapiens et au Néandertalien se sont ajouté de nouvelles espèces qui provoquent bien des débats chez les paléontologues. À défaut d’avoir une réponse par les ossements, l’étude des protéines pourrait lever un peu le voile sur le lien entre « eux » et « nous ».