Si Facebook pensait s’attirer les faveurs du gouvernement australien en interdisant aux usagers de ce pays l’accès à leurs médias, elle a fait un mauvais calcul. À moins qu’il ne s’agisse d’une stratégie de négociation.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les attaques non fondées de la semaine dernière contre les éoliennes gelées au Texas ont été jugées comme inévitables, puisqu’il s’agit d’un État pétrolier où les gouvernements successifs ont été ouvertement climatosceptiques. Pourtant, il y a 21 ans à peine, c’est le gouverneur d’alors, un certain George W. Bush, qui avait fièrement signé une loi visant à faire du Texas un chef de file de l’éolien.
Trois dents de mammouths vieilles d’un million et demi d’années contenaient encore juste assez d’ADN ou qu’on fasse une découverte inédite sur cet animal: jamais un tel matériel génétique aussi vieux n’avait pu être récolté.
Le Texas serait-il victime d’une panne d’électricité parce que les éoliennes ne supportent pas le gel ? Il y a certaines choses qui clochent dans cette affirmation qui a circulé abondamment sur les réseaux sociaux, constate le Détecteur de rumeurs.
Les prochaines semaines seront excitantes pour les amateurs d’exploration martienne. Mais Perseverance est aussi la première mission martienne de l’histoire dont l’aboutissement — ramener des fragments de Mars sur Terre — pourrait prendre 11 ans, nécessiter la collaboration de plusieurs pays — et les détails ne sont même pas encore ficelés.
Après l’Angleterre, les perruches sauvages envahissent l’Irlande. L’espèce a beau être bien jolie et faire la joie des touristes et des enfants, la place croissante qu’elle occupe commence à inquiéter les écologistes.
À quoi ressembleraient ces courbes qu’on essaie d’aplatir, si les nouveaux variants prenaient plus ou moins d’ampleur? Une projection des huit prochains mois tente de l’illustrer pour l’Europe.
La semaine dernière, une première projection disait du variant britannique qu’il pourrait devenir la forme dominante du coronavirus circulant aux États-Unis d’ici le mois de mars. Quelques jours plus tôt, une projection similaire disait la même chose au Danemark. Et quelques jours plus tard, c’était au tour de Toronto. Cap vers la 3e vague.
Une demi-douzaine d’articles dans des médias québécois et canadiens ont présenté, en mai 2020 puis de nouveau le mois dernier, un médicament qui, testé en Alberta, serait à même de « révolutionner » le traitement du cancer. Le Détecteur de rumeurs rappelle pourquoi il faut être prudent avant d’utiliser le mot « révolutionnaire ».
Trouvées sous 900 mètres de glace et à près de 300 km de l’accès à l’océan le plus proche: la résilience de certaines formes de vie sous la calotte glaciaire de l’Antarctique continue d’étonner.