Auteur/autrice : Jim Chartrand

Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

Quand rien ne fonctionne, on ne sait jamais vraiment qui blâmer. Et si Whiskey Tango Foxtrot porte d’une certaine façon bien son nom (il s’agit ici d’initiales qui nous ramènent à What The Fuck), contrairement à ses propres croyances, il est certainement vraiment moins divertissant qu’il ne pense le prétendre, sinon pas du tout, laissant son spectateur reposer dans un bain de fusillades, d’explosions, de vulgarités et, surtout, d’ennui.

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Succès surprise pour des tas de raisons, Olympus Has Fallen a fait exploser le box-office il y a trois ans. Pourtant, même s’il était réalisé par Antoine Fuqua et que sa distribution était plus que prestigieuse, l’exercice ne volait pas nécessairement bien haut ce qui explique difficilement pourquoi on a voulu y faire une suite. Dieu merci, celle-ci réussit le pari risqué d’être encore terriblement plus pire que son prédécesseur, et ça, franchement, ce n’était pas donné.

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S’il se la joue feel-good movie et biopic sportif dans les règles de l’art, un peu trop même par moment, Eddie the Eagle est un crowd-pleaser fortement fonctionnel qui s’assure de réchauffer les cœurs et de faire grossir le sourire au visage de ses spectateurs en se permettant de modifier ne serait qu’un tantinet les morales qu’on aime habituellement apposer aux histoires de ce genre.

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Déjà reconnu comme étant le film sur l’Égypte qui ne met en scène aucun Égyptien, en plus d’avoir été tourné en Australie, Gods of Egypt pourrait certainement être la comédie la plus involontaire et la plus coûteuse de l’année, mais le résultat est si pitoyable qu’il se contente d’être une aberration.

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À force de trop vouloir en faire, l’adaptation fort attendue du personnage de bandes dessinéesDeadpool s’investit certainement dans l’irrévérence, mais préfère user de facilités à la chaîne au lieu de prioriser l’audace. Le résultat, équivalent à un délire de petits garçons qui sont tombés sur la tête à plusieurs reprises, est rapidement lassant, ça, bien sûr, si l’on implique qu’il a été ne serait-ce qu’un peu amusant ici ou là.

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Voué à l’échec sur papier, Heist est loin d’être révolutionnaire ou particulièrement bien fait ou ficelé. Il n’en demeure pas moins la solution idéale pour passer un sacré bon moment divertissant où l’on ne se casse aucunement la tête. Tant mieux, puisqu’il est disponible depuis peu en DVD.

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