Auteur/autrice : Jim Chartrand

Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

Le problème avec Aftermath, c’est que tout dégénère lentement, mais sûrement. Poussant une idée intéressante en un bordel de ridicule qui ne rend pas justice aux nombreux talents qu’on a voulu exploiter. Cela rend l’écoute intrigante, mais pas nécessairement gagnante pour ceux qui oseront insérer le DVD dans un lecteur.

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Il y avait tellement de talents réunis dans ce projet que les attentes étaient inévitables, et on ne peut cacher que le résultat est certainement en deçà de ce que chacun a pu nous démontrer par le passé. N’empêche, réduire l’efficacité de The Glass Castle pour cette raison ferait passer le spectateur à côté d’un très beau film qui manque surtout de subtilité pour parvenir à ses fins, mais certainement pas de cœur et encore moins d’âme.

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On a souvent l’impression que les propositions cinématographiques se suivent et se ressemblent. Néanmoins, il arrive que des œuvres d’exception se glissent entre les autres et A Ghost Story, nouveau joyau du talentueux David Lowery, est un long-métrage qui fait lentement, mais sûrement ses preuves pour (évidemment) nous hanter habilement en s’avérant être une pièce d’art probablement plus grande que nous, plus grande que le monde même. Rien de moins.

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Le savoir-faire et l’audace sont dans chaque recoin de The Endless, nouveau projet fou d’un duo d’enfer composé de Justin Benson et Aaron Moorhead, cinéastes, acteurs et scénariste, monteur et directeur photo, tout dépendant les capacités de chacun. Dommage toutefois qu’ils se font rapidement engloutir par leurs propres ambitions dans un film qui finit par tourner quelque peu à vide avant de devenir tristement trop familier.

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Good time arrive à point pour remettre les pendules à l’heure. En effet, si vous étiez en train de rater le bateau, à l’instar de Kristen Stewart qui s’émancipe avec brio grâce à Assayas, Pattinson multiplie les collaborations dorées pour pousser ses capacités au firmament, poussant les deux vedettes d’une franchise dont on ne prononcera pas le nom, à mener de front l’élite de la relève d’acteurs d’aujourd’hui. Mieux, le nouveau film des frères Safdie est rien de moins qu’électrisant.

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Dans l’ombre d’Hollywood se terre l’ex-cascadeur Ric Roman Waugh, qui a décidé de prolonger sa carrière au cinéma en signant et réalisant des films qui passent malheureusement sous le radar, tout en étant décidément tout sauf inintéressants. Son récent Shot Caller, dont personne n’a probablement entendu parler, mérite certainement une écoute.

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On dit parfois que les pires idées sont souvent les meilleures. Et n’eut été de l’apport considérable du surdoué Matt Reeves, probablement que ce reboot devenu une trilogie distincte dans l’ancestrale franchise de Planet of the Apes n’aurait jamais eu droit au blockbuster le plus ambitieux et audacieux depuis belle lurette. Comme quoi, quand Hollywood nous livre avec surprise l’un des films les plus courageux de l’année, en plus d’être l’un des meilleurs, il ne faut surtout pas le rater.

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Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.

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