Auteur/autrice : Hugo Prévost

Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

Qui dit pandémie de coronavirus dit généralement repas fait maison, ou encore le recours aux chaînes toujours ouvertes qui offrent la livraison. Pour ceux qui souhaitent cependant encourager les producteurs locaux, tout en comblant cette rage de fast-food, il existe des solutions, notamment celle de BrgrBox.

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L’intelligence artificielle et l’autodétermination contre le cadre omniprésent d’une société « améliorée » par le déterminisme social et les décisions d’un petit groupe: la saison 3 de la télésérie de science-fiction Westworld a poursuivi les explorations philosophiques propre à cet univers mêlant androïdes et humains déjantés… mais sans disposer des moyens correspondants à ses ambitions.

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Si plusieurs gouvernements, y compris ceux du Canada et du Québec, ne ferment pas la porte à l’idée de faire appel à des applications mobiles pour retracer les gens ayant pu être en contact avec des personnes infectées par le coronavirus – ou ayant elles-mêmes été contaminées –, plusieurs organismes et agences de la protection de la vie privée réclament des balises claires pour éviter que les informations personnelles des utilisateurs risquent de tomber entre de mauvaises mains.

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La pandémie de COVID-19 provoque déjà un rebrassage des cartes géopolitiques, et accentuera la rivalité entre les grandes puissances, en plus d’accélérer le « transfert » de l’influence occidentale vers l’Orient. Voilà le constat des experts mandatés par le magazine The Economist, dans une analyse publiée cette semaine.

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Le projet Blood Machines est étrange, c’est le moins que l’on puisse dire. Piloté par Seth Ickerman, celui-là même qui avait réalisé l’éclectique vidéoclip (et le mot est faible!) pour la pièce Turbo Killer de l’artiste synthwave Carpenter Brut, il s’agit d’un film de science-fiction d’une cinquantaine de minutes, dont la bande sonore est justement produite par… Carpenter Brut. En attendant le film, d’ailleurs, cette trame musicale est disponible, et on y découvre un nouvel aspect de l’artiste français.

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Who said that life should be boring during a pandemic? While the world is in lockdown, the time is right to go back to an era where video games could revolutionize the industry, or disappear without a trace, all this from a single CD, or even from a floppy disk. Welcome to SVGA, a show about retro gaming in all it’s glory – and horror.

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Le virage numérique du gouvernement du Québec semble avoir largement porté fruit. Selon une récente enquête du CEFRIO, plus de 8 adultes québécois sur 10 (82%) se tournent ainsi d’abord vers les services en ligne de l’État pour effectuer diverses opérations, qu’il s’agisse d’un déménagement, d’un changement de situation professionnelle, ou encore d’une naissance, par exemple.

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Pour la première fois de l’histoire récente des États-Unis, la date de l’élection présidentielle américaine, prévue le 3 novembre, sera-t-elle reportée? Selon une enquête du Pew Research Center, la pandémie de coronavirus pourrait avoir un impact important sur la tenue de cet important processus politique. C’est du moins l’avis de 66% des personnes sondées, et une majorité des répondants proposent d’accroître la participation en favorisant le vote par la poste.

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En plein référendum sur l’indépendance de l’Écosse, le vieux limier de la police d’Édimbourg, John Rebus, a repris du service après avoir pris une retraite bien méritée. Cette fois, dans le roman On ne réveille pas un chien endormi, publié en 2013 par Ian Rankin et traduit dans la langue de Molière deux ans plus tard aux Éditions du Masque, le passé télescope le présent, et Rebus sera de nouveau sur la corde raide.

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L’agence spatiale américaine, la NASA, n’attend certainement pas la fin de la pandémie, sur Terre, pour continuer de rêver de retourner sur la Lune, libre d’humains depuis un demi-siècle: l’organisation a dévoilé jeudi les noms des trois entreprises qui héritent de contrats de près d’un milliard de dollars américains pour concevoir des engins et des atterrisseurs pour retourner sur notre satellite naturel.

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