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    Photo: Public Theater

    L’assassinat d’un Jules César aux allures de Trump suscite la controverse

    1
    Par Pieuvre.ca le 12 juin 2017 Théâtre / Cirque

    Deux importantes entreprises américaines ont mis fin à leur financement d’une production de la pièce Jules César, de Shakespeare, dans laquelle le leader roman imite le président Donald Trump.

    Dans cette version de la pièce jouée à New York, le conquérant des Gaules est présenté sous la forme d’un homme d’affaires aux cheveux blonds vêtus d’un costume bleu marine.

    Selon ce qu’écrit la BBC, la compagnie de théâtre, Public Theater, a fait savoir que le personnage était un César contemporain « assoiffé de pouvoir absolu ». L’un des commanditaires, le transporteur aérien Delta Air Lines, estime toutefois que les producteurs ont « franchi la limite en matière de bon goût ».

    Dans la tragédie shakespearienne, qui prend place à Central Park, dans la métropole américaine, César est assassiné lors d’une longue scène où il combat ses assaillants avant de succomber, lardés de coups de couteau.

    La femme du personnage principal dans la pièce, Calpurnia, est dépeinte comme portant des robes griffées et parlant avec un accent slave – ce qui porte à croire qu’elle est inspirée de la femme du président, Melania Trump, qui est slovène.

    En annonçant la production de la pièce plus tôt cette année, Public Theater a décrit sa version du leader romain comme d’un homme « charismatique, populiste et irrévérencieux ». Sur son site web, la compagnie précise que la pièce porte sur la « fragilité de la démocratie », avant d’ajouter qu’elle souligne également « à quel point les institutions avec lesquelles nous avons grandi peuvent être détruites en un rien de temps ».

    Delta a indiqué lundi que « la représentation violente de Jules César » lors de l’événement gratuit Shakespeare dans le parc ne « reflétait pas » les valeurs du transporteur aérien.

    Le fils du président Trump, Donald Jr, a critiqué la production, se demandant si des limites avaient été franchies dans ce qu’il a décrit comme de l’art se transformant pour devenir un discours politique. « Je me demande quelle proportion de cet « art » est financé par les fonds publics », a-t-il tweeté, avant d’ajouter « plus sérieusement, quand « l’art » devient-il un discours politique, et cela change-t-il quelque chose? ».

    La pièce a débuté sur les planches le 23 mai, et la production doit se poursuivre jusqu’au 18 juin.

    Delta et l’autre commanditaire ayant retiré ses billes, Bank of America, ont tous deux soutenu l’événement Shakespeare dans le parc depuis plusieurs années.

    Dans une version de la même pièce de Shakespeare jouée en 2012 et alors montée par The Acting Company, le leader romain ressemblait au président Barack Obama.

    Invité à commenter l’affaire, Gregory Doran, le directeur artistique de la Royal Shakespeare Company, en Grande-Bretagne, estime que le Barde pourrait souvent surprendre le public moderne par le côté particulièrement « contemporain » de ses pièces. « Bien que ses oeuvres se déroulent souvent dans des endroits et des époques éloignés des siens, c’est en agissant de la sorte qu’il pouvant parler de sa propre société.

    « Nous appliquons constamment cette métaphore à nos propres vies. Shakespeare agit comme un aimant qui attire toutes les composantes ferreuses de ce qui se passe dans le monde. »

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