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    La lutte continue d'être chaude entre les deux principaux partis britanniques

    En Grande-Bretagne, la majorité conservatrice maintenant menacée

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    Par Pieuvre.ca le 1 juin 2017 Europe

    Le Parti conservateur de Theresa May risque de perdre sa majorité absolue à la Chambre des communes à l’issue des élections législatives anticipées du 8 juin en Grande-Bretagne, si l’on en croit un sondage publié mercredi par le quotidien The Times.

    Selon cette enquête de l’institut YouGov, dont les résultats vont à rebours des autres sondages disponibles, les Tories pourraient perdre 20 sièges sur les 330 qu’ils détiennent, repassant sous les 326 sièges synonymes de majorité absolue. Le Parti travailliste en gagnerait près de 30.

    Les autres instituts observent tous un resserrement des courbes – en rupture nette avec la victoire éclatante vers laquelle May semblait se diriger il y a encore un mois -, mais continuent de tabler sur une victoire des conservateurs.

    Un sondage SurveyMonkey publié mercredi soir par The Sun crédite ainsi le Parti conservateur de 44% des intentions de vote contre 38% pour le Labour, 6% pour les Libéraux démocrates et 4% pour le Parti de l’indépendance du Royaume-Uni (Ukip). Traduits en sièges, ces résultats donneraient 346 sièges aux Tories contre 228 aux travaillistes.

    Un autre institut, Kantar, donne mercredi les Tories en tête et confortant leur majorité avec 10 points d’avance sur les travaillistes.

    L’institut YouGov, pour expliquer sa singularité, souligne qu’il a travaillé à partir d’un nouveau système de modélisation circonscription par circonscription, reposant sur 50 000 entretiens effectués pendant une semaine.

    Son directeur, Stephan Shakespeare, ajoute que ce modèle a été testé pendant la campagne du référendum du Brexit, il y a un an, et qu’il a prédit avec constance la victoire du « Leave ».

    YouGov a toutefois reconnu le caractère polémique de ses conclusions, notant que les sondés dans chaque circonscription ne sont jamais très nombreux et admet que, selon les différents schémas de vote testés, le nombre de sièges auxquels pourrait prétendre le Parti conservateur varie de 274 à 345. Publié dans la soirée, un autre sondage Yougov, utilisant des modélisations traditionnelles, crédite le Parti conservateur d’une avance de trois points sur le Labour, qui efface néanmoins une grande partie de son retard.

    Le parti de Theresa May rassemble 42% des intentions de vote (en baisse d’un point par rapport à la précédente édition du sondage), contre 39% pour les travaillistes (+3).

    La contre-attaque de Corbyn

    Les écarts dans les intentions de vote se sont resserrés après la publication, le 18 mai, du programme des conservateurs, dans lequel Theresa May s’engageait notamment à faire supporter à certaines catégories de retraités une plus large part de leurs frais de santé.

    Cette disposition, aussitôt baptisée « Dementia Tax » (taxe sur la démence), a été dénoncée par l’opposition et Theresa May a dû faire machine arrière, un recul passé très vite au second plan puisqu’annoncé le 22 mai, quelques heures seulement avant l’attentat suicide de Manchester.

    L’attaque la plus meurtrière en Grande-Bretagne depuis les attentats de Londres en juillet 2005 a pu également contribuer à faire évoluer les intentions de vote, le Labour de Jeremy Corbyn concentrant alors ses critiques sur les coupes budgétaires dans la police – Theresa May a été ministre de l’Intérieur entre 2010 et 2016.

    Le chef de file du Labour a pris part à un débat télévisé à Cambridge mercredi soir – auquel il ne devait initialement pas participer -, critiquant au passage son adversaire qui a choisi de ne pas s’y joindre. « Le choix posé dans ces élections est clair entre le Labour qui construira une Grande-Bretagne pour les masses ou les Tories qui ne gouvernent que pour les élites », a-t-il dit.

    Il avait plus tôt fustigé le refus de May de participer à ce débat. « Les conservateurs ont mené une campagne d’entre-soi mise en scène, et ont traité le peuple avec mépris. Refuser de me rejoindre à Cambridge ce soir serait un nouveau signe de faiblesse et pas de force de la part de Theresa May », avait-il déclaré.

    De son côté, Theresa May, interrogée à propos du risque de perdre sa majorité parlementaire, a répondu que « le seul sondage qui compte est celui qui va se tenir le 8 juin ».

    Toutefois, si elle n’améliore pas nettement la majorité de 12 sièges obtenue aux élections de 2015 par son prédécesseur, David Cameron, son pari – convoquer un scrutin anticipé pour obtenir un mandat « fort et stable » et se donner les coudées franches dans les négociations sur le Brexit – aura échoué.

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