Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    0 Shopping Cart
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos contributeurs
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Société»Vie tentaculaire»Le mauvais temps a nui à la production de vin en 2016
    Le cocktail météo a eu un impact négatif sur la production de vin à l'échelle mondiale

    Le mauvais temps a nui à la production de vin en 2016

    0
    Par Pieuvre.ca le 12 avril 2017 Vie tentaculaire

    La production viticole mondiale a reculé de 3% en 2016 en raisons de mauvaises conditions météorologiques, à 267 millions d’hectolitres, une baisse cependant moins forte qu’attendu, a annoncé mardi l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV).

    « Nous sommes dans une moyenne basse comparativement à ces dernières années », a déclaré lors d’une conférence de presse Jean-Marie Aurand, directeur général de l’OIV, qui avait cependant craint en octobre une chute de 5% de la production mondiale.

    Au palmarès des pays producteurs, l’Italie conserve sa place de leader avec une production de 50,9 millions d’hectolitres, devant la France (43,5 millions) et l’Espagne (39,3 millions). Comparé à 2015, la France affiche toutefois un recul de 7%, à cause notamment des fortes grêles qui ont détruit localement des vignobles.

    De mauvaises conditions météorologiques ont également réduit la production de certains pays d’Amérique du Sud. « En Argentine, au Chili et au Brésil de fortes inondations ont affecté la production, et l’Afrique du Sud a subi une grave sécheresse », a indiqué Jean-Marie Aurand.

    La France, troisième exportateur mondial de vin en volume, derrière l’Espagne et l’Italie, demeure le premier exportateur en valeur (8.255 millions d’euros en 2016), grâce à la forte valeur ajoutée de ses vins, selon le bilan de l’OIV.

    La consommation mondiale de vin, quant à elle, s’est élevée à 242 millions d’hectolitres, un niveau relativement stable sur les huit dernières années.

    Les États-Unis confirment leur première place de consommateur mondial de vin avec 31,8 millions d’hectolitres, devant la France qui en affiche 27 millions.

    Par habitant, le Portugal est toujours le premier consommateur de vin avec un score de 54 litres par an. La France est à la seconde place avec une consommation annuelle de 51,8 litres (soit près d’un litre par semaine et par habitant), malgré une baisse continue de la consommation de vin depuis 1960 dans l’Hexagone.

    « Il y a eu un changement des habitudes alimentaires et de mode de vie. Nous sommes passés d’une consommation de vin qui faisait partie de la diète quotidienne des Français à une consommation festive, de plaisir, essentiellement les week-ends », a expliqué Jean-Marie Aurand.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    15 mars 2023

    Le Lelo Dot et l’art de mettre les points sur les i

    28 février 2023

    Entre régime keto et végane, un poids carbone quatre fois supérieur

    21 février 2023

    Le sexe spontané est-il vraiment meilleur?

    Pieuvre.ca
    • Site web
    • Facebook
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • FIL
    • Élections québécoises 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    31 mars 2023

    Le doux érotisme de Fleur sauvage lingerie

    31 mars 2023

    Les cryptomarchés, plus attirants que le vendeur au coin de la rue

    31 mars 2023

    Poursuivre les pétrolières pour homicide?

    30 mars 2023

    Quand on paie 6 milliards de dollars pour du stationnement vide

    30 mars 2023

    Bad Batch, saison 2 : lentement, très lentement…

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.