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    Pour se sortir la tête de l'eau, la planète doit aller de l'avant avec les mesures de réduction des émissions de GES, plaident les chercheurs

    Il faut agir pour réduire les émissions de CO2, au risque de faire dérailler la planète

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    Par Pieuvre.ca le 31 janvier 2017 À la une, Science

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    Sans un effort important pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, y compris en accélérant le déploiement de technologies visant à capturer et stocker sous terre le carbone se trouvant dans l’atmosphère, ainsi que la croissance soutenue des énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire, la planète pourrait rater une cible essentielle en matière de température établie dans le cadre de l’Accord de Paris, ainsi que l’objectif à long terme de la fin de la pollution climatique.

    Cette conclusion, publiée dans l’édition du 30 janvier de la publication scientifique Nature Climate Change, s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle étude visant à suivre les progrès et comparer les engagements en matière d’émissions polluantes de plus de 150 nations ayant signé l’Accord de Paris, une convention onusienne conclue en 2015 visant à maintenir le réchauffement climatique à 2 degrés au-delà de la moyenne préindustrielle, soit le seuil indiqué par les scientifiques comme le point de non retour vers un réchauffement catastrophique.

    « La bonne nouvelle est que les émissions de GES provenant des combustibles fossiles sont stables depuis trois années consécutives », mentionne Robert Jackson, président du Department of Earth System Science à la Stanford’s School of Earth, Energy & Environmental Sciences, selon des propos rapportés par le site web Phys.org. « Nous avons maintenant besoin de véritables réductions dans les émissions globales, ainsi qu’un suivi étroit des engagements vers les réductions des émissions et les statistiques à l’échelle des pays. »

    Dans la nouvelle étude, Jackson et ses collègues ont développé une série de mesures pouvant être utilisées pour effectuer un suivi de divers engagements en matière de réduction des émissions de GES, et donc le progrès global vers les objectifs de l’Accord de Paris.

    En appliquant leurs méthodes aux dernières années, les chercheurs ont découvert que les émissions de dioxyde de carbone étaient demeurées stables à environ 36 gigatonnes pour la troisième année d’affilée, en 2016.

    « Le déploiement rapide de l’énergie éolienne et solaire commence à avoir un effet à l’échelle globale, et chez des joueurs essentiels comme la Chine, les États-Unis et l’Union européenne », a déclaré Glen Peters, chercheur principal au Center for International Climate and Environmental Research à Oslo, et principal auteur de l’étude. « Le défi consiste à accélérer les nouveaux ajouts d’énergie éolienne et solaire, et de trouver des solutions pour intégrer efficacement ces systèmes au sein des réseaux électriques existants. »

    Cependant, ces deux sources d’énergie ne seront pas suffisantes pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris. Lorsque les chercheurs ont examiné les facteurs derrière le récent ralentissement, ils ont constaté que la plupart d’entre eux tournaient autour de facteurs économiques et de la réduction de l’utilisation du charbon, principalement en Chine, mais aussi aux États-Unis.

    En Chine, la baisse de la consommation de charbon a été motivée par une réduction de la production de ciment, d’acier et d’autres produits énergivores, ainsi qu’en raison d’un urgent besoin de réduire la pollution aérienne, qui est responsable de plus d’un million de morts prématurées par année.

    Les raisons entourant le déclin américain sont plus complexes, alimentées non seulement par une baisse de la consommation de charbon, mais aussi des gains d’efficacité énergétique dans le secteur industriel et l’augmentation rapide des parts du gaz naturel et des énergies éolienne et solaire dans le cocktail électrique. « 2016 fut la première année où le gaz naturel a surpassé le charbon pour la production d’électricité », précise Jackson.

     

    En se tournant vers l’avenir, les chercheurs prédisent que le plus grand défi, pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris, sera la mise en marché plus lente que prévue de mécanisme de captation et de stockage du carbone. La plupart des scénarios laissent envisager des milliers d’installations pour capter et stocker le carbone d’ici 2030, disent les scientifiques, soit bien en-deçà des dizaines de milliers qui sont actuellement proposées.

    Jackson souligne que cette technologie s’avérera encore plus importante si le président américain Donald Trump va de l’avant avec sa promesse de campagne visant à ressusciter l’industrie nationale du charbon, qui est à la peine. « Il n’y a aucune façon de réduire les émissions carboniques liées au charbon sans la captation et le stockage du carbone », soutient-il.

     

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