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    Au dire du candidat républicain, le président démocrate et son ex-secrétaire d'État sont responsables de l'apparition de l'État islamique

    Obama et Clinton, « cofondateurs de l’EI », clame Trump

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    Par Pieuvre.ca le 11 août 2016 Maison-Blanche 2016

    Pieuvre.ca

    Donald Trump a réitéré jeudi ses accusations contre Barack Obama et Hillary Clinton, qu’il présente comme des « cofondateurs » du groupe djihadiste État islamique (EI).

    Le candidat républicain à l’élection présidentielle du 8 novembre aux États-Unis reproche au président démocrate et à celle qui fut sa secrétaire d’État entre 2009 et 2013 la manière dont ils ont géré le retrait des forces américaines d’Irak.

    Trump avait déjà manié ces accusations mercredi soir lors d’un meeting de campagne en Floride. « Il a été le fondateur de l’EI. Et elle aussi (…) Il n’aurait pas dû se retirer comme il l’a fait. Ce qu’il a fait, c’était un désastre », a-t-il.

    Interrogé jeudi matin sur la chaîne de télévision CNBC, il a réitéré ses allégations. « Tout ce que je fais, c’est de dire la vérité. Je suis celui qui dit vrai », a-t-il ajouté.

    Le groupe djihadiste État islamique, anciennement État islamique en Irak et au Levant (EIIL), est issu de l’État islamique d’Irak d’Abou Moussab al Zarkaoui, affilié à Al Qaïda et acteur central de l’insurrection sunnite qui s’est développée après l’invasion militaire ordonnée en 2003 par George Bush.

    Clinton, alors sénatrice de l’Etat de New York, avait voté en octobre 2002 en faveur de l’intervention militaire, Obama s’y était opposé. Lors de sa campagne victorieuse de 2008, le président démocrate avait promis de mettre un terme à la guerre en Irak. Il en a retiré les troupes de combat en 2011.

    Trump, qui était lui aussi hostile au déclenchement de cette nouvelle guerre, n’est pas le premier républicain à imputer à la candidate démocrate une responsabilité dans l’essor de l’EI.

    L’été dernier, en pleine pré-campagne des primaires, Jeb Bush, ex-gouverneur de Floride et frère de George Bush, lui avait reproché de s’être désintéressée de la question irakienne lorsqu’elle dirigeait la diplomatie américaine, favorisant de fait le développement du groupe armé d’Abou Bakr al Baghdadi. « Au cours de tous ses déplacements record, elle ne s’est très exactement arrêtée qu’une seule fois en Irak », l’avait-il attaquée.

    Celle qui n’était encore que candidate à l’investiture démocrate avait répliqué quelques jours plus tard en rappelant que c’était le frère de Jeb Bush qui avait signé avec le premier ministre irakien de l’époque, Nouri al Maliki, un accord sur le retrait des forces américaines.

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