Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
      • Fil de presse fourni par Cision – Français
      • Newswire provided by Cision – English
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Dons
    Pieuvre.ca
    Accueil»À la une»Angela Merkel et le casse-tête électoral de 2017
    Le désistement du président allemand en vue du scrutin de 2017 provoque de l'incertitude pour la chancelière Angela Merkel

    Angela Merkel et le casse-tête électoral de 2017

    0
    Par Pieuvre.ca le 6 juin 2016 À la une, Politique

    Pieuvre.ca

    Le président allemand Joachim Gauck a annoncé lundi qu’il renonçait à briguer un deuxième mandat, lançant la course à sa succession et compliquant l’équation électorale d’Angela Merkel à quinze mois des législatives de 2017.

    « Je me suis décidé à ne pas être candidat une nouvelle fois à la fonction de président » au-delà du mandat en cours s’achevant en mars 2017, a déclaré le populaire chef de l’Etat, pasteur de 76 ans et ancien opposant politique en ex-RDA. Il a expliqué que son âge avancé ne garantissait plus « l’énergie et la vitalité » requises par son mandat.

    La chancelière, tout en reconnaissant qu’elle « aurait souhaité » que M. Gauck sollicite un second mandat, a renvoyé à l’automne une décision sur le nom du candidat, qui sera prise « dans la plus grande tranquillité » après les deux scrutins régionaux prévus le 4 septembre dans le Mecklembourg-Poméranie (est) et le 18 septembre à Berlin.

    Si la fonction est largement honorifique, entre rôle d’autorité morale et de représentation à l’étranger, M. Gauck, élu en 2012 pour cinq ans, n’avait pas hésité à prendre position sur la scène intérieure, soutenant la politique d’accueil des réfugiés ou évoquant les responsabilités historiques du pays.

    En tirant sa révérence, il ouvre la voie à une « Assemblée fédérale » incertaine lors de laquelle députés et représentants des États régionaux éliront son successeur le 12 février 2017.

    Or aucun parti seul, du fait du jeu de la proportionnelle en Allemagne, n’a la majorité requise pour imposer ses vues. Des coalitions sont incontournables, qui historiquement ont souvent préfiguré celles choisies pour le gouvernement fédéral.

    Ce vote implique aussi une « confrontation précoce » entre les membres de la coalition gouvernementale – conservateurs de la CDU, alliés bavarois de la CSU et sociaux-démocrates du SPD – dont « la chancelière se serait volontiers passée », analyse le site internet du magazine Der Spiegel. Car cette fois-ci un candidat commun aux deux camps semble exclu.

    Contexte mouvementé

    Les partis se mettent du coup déjà en ordre de bataille, avec au-delà en ligne de mire les élections législatives de l’automne 2017, pour lesquelles Angela Merkel n’a pas encore annoncé ses intentions. L’élection du président fera dès lors figure « de jouet des partis politiques et de ballon d’essai » pour de nouvelles alliances, décrypte le quotidien berlinois Tagesspiegel, dans un paysage politique chamboulé par la percée de la droite populiste.

    La confrontation se profile d’autant plus qu’aucune personnalité transpartisane ne se dégage.

    En quelques mois, avec l’afflux l’an dernier de plus d’un million de demandeurs d’asile en Allemagne, les relations entre le parti conservateur de la chancelière (CDU) et ses alliés bavarois de la CSU se sont tendues comme jamais, tandis que les sociaux-démocrates du SPD plongent dans les sondages en payant une ligne politique illisible et le centrisme de Mme Merkel.

    Difficulté supplémentaire pour la chancelière : elle ne peut rester hors du jeu, rappelle le Spiegel, puisque sa famille politique attend « qu’elle choisisse son propre candidat » au poste de chef de l’État.

    Parmi les noms qui circulent dans la presse figurent deux personnalités de la CDU : le président de la chambre basse du Parlement Norbert Lammert, 67 ans, et le ministre des Finances Wolfgang Schäuble, 73 ans, vétéran de la politique doté d’une grande liberté de parole et qui s’était distingué par son intransigeance pendant la crise grecque.

    Les sociaux-démocrates pourraient de leur côté désigner le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, 60 ans, dont l’élection semble cependant exclue, faute d’unir derrière lui l’opposition de gauche ou de rallier les suffrages conservateurs.

    Au-delà des personnalités retenues, l’attention se focalisera sur les jeux d’alliance, à l’heure où deux phénomènes fragilisent déjà fortement l’actuelle « grande coalition » CDU-SPD : la poussée de la droite populiste de l’AfD et la tentation pour le SPD de se reconstruire dans l’opposition plutôt que de continuer à se diluer dans la ligne gouvernementale.

    Au jeu des pronostics, une éventuelle coalition « noire-verte », rassemblant conservateurs et écologistes, focalise déjà l’attention des médias. Inédit au niveau fédéral, cet attelage existe dans deux gouvernements régionaux.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    6 mai 2022

    La faim touche près de 40 millions de personne en plus qu’en 2020

    19 avril 2022

    La tendance à surestimer le nombre de minorités

    21 mars 2022

    Guerre en Ukraine: la famine mondiale guette, prévient l’ONU

    Pieuvre.ca
    • Site web
    • Facebook
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Vues d’Afrique
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    23 mai 2022

    Quand vos publications sur les médias sociaux peuvent affecter votre cote de crédit

    23 mai 2022

    Vancouver pourrait devenir une « ville de 15 minutes »

    23 mai 2022

    Elle s’appelle Echo : sur les traces des Métis

    23 mai 2022

    The Valet, le film pour se changer les idées

    22 mai 2022

    De nouvelles stratégies pour sauver l’une des plantes les plus importantes de la planète

    Fil de presse fourni par Cision
    Newswire provided by Cision
    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.