Pieuvre.ca
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Politique»Brésil: pas question de démissionner, martèle Rousseff
    Une nouvelle journée, de nouveaux appels à la démission de la présidente du Brésil

    Brésil: pas question de démissionner, martèle Rousseff

    0
    Par Pieuvre.ca le 4 avril 2016 Politique

    Pieuvre.ca

    La présidente du Brésil Dilma Rousseff a réaffirmé dimanche qu’elle ne démissionnerait pas de ses fonctions, à la veille d’une semaine décisive pour son avenir à la tête du plus grand pays d’Amérique latine, rapporte l’Agence France-Presse.

    « Je ne démissionnerai jamais », a écrit Mme Rousseff sur sa page Facebook en réponse à un éditorial publié dimanche par l’influent quotidien Folha de Sao Paulo lui demandant d’abandonner sa charge.

    La dirigeante de gauche est soupçonnée d’avoir manipulé les comptes publics pour être réélue en 2014.

    Selon l’opposition, Mme Rousseff aurait fait supporter par des banques publiques des dépenses supplémentaires non-inscrites au budget, en 2014 et 2015. Elle aurait ainsi sciemment maquillé les comptes publics pour dissimuler l’ampleur des déficits et favoriser sa réélection en 2014, se rendant coupable d’un « crime de responsabilité » prévu par la Constitution.

    La présidente répond que tous ses prédécesseurs ont eu recours à cette pratique et dénonce une procédure « sans fondement légal », masquant une « tentative de coup d’Etat » institutionnel.

    L’avocat général du Brésil, José Eduardo Cardozo, doit plaider lundi en sa faveur devant la commission parlementaire chargée de statuer sur son éventuelle destitution. La commission doit se prononcer vers le 11 avril.

    Et Mme Rousseff s’efforce d’obtenir les soutiens parlementaires nécessaires pour éviter sa destitution.

    Mais son camp a été nettement fragilisé par l’annonce la semaine dernière du départ de la coalition gouvernementale de son principal allié, le Parti du mouvement démocratique brésilien (PMDB), passé à l’opposition.

    Cet abandon pourrait s’avérer fatal à Mme Rousseff, 68 ans, qui se débat, de plus en plus esseulée, au milieu d’une tempête politique historique envenimée par le gigantesque scandale de corruption Petrobras.

    Première force parlementaire avec 69 députés sur 513 et 18 sénateurs sur 81, le PMDB était le principal allié de la coalition au pouvoir, dirigée par le Parti des travailleurs (PT, gauche) et faisait partie depuis 2004 du gouvernement. Mi-avril, l’opposition devra obtenir les voix de 342 députés sur 513 – deux tiers – pour que la procédure se poursuive ensuite au Sénat, faute de quoi elle serait automatiquement enterrée.

    Le Parti des travailleurs (PT) au pouvoir depuis 13 ans et sa mouvance sociale ont convoqué ces derniers jours des manifestations de soutien à Dilma Rousseff, espérant une démonstration de force pour faire pression sur les députés hésitants.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    20 septembre 2023

    Promouvoir la paix, envers et contre tout

    14 septembre 2023

    Empêcher les écoles de parler de climat

    11 septembre 2023

    Les migrations, largement motivées par le contexte économique, plutôt que par la crise climatique

    Pieuvre.ca
    • Site web
    • Facebook
    • X (Twitter)

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    1 octobre 2023

    Castlevania: Nocturne, les dents longues au temps de la Terreur

    1 octobre 2023

    Les aires protégées et leur impact mitigé sur la perte de biodiversité

    1 octobre 2023

    Le mystère des (nombreux) cercles de fées

    1 octobre 2023

    Pour gagner un Nobel il faut être (de plus en plus) patient

    29 septembre 2023

    Essence, pour un demi-siècle d’existence des Ballets Jazz de Montréal

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.