Quelque 96% des participants à l’étude ont été harcelés sur les médias sociaux, plus de la moitié y recevant des menaces, y compris des menaces de violences physiques (40%), de violence sexuelle (14%), des menaces envers les membres de la famille des élus (19%), envers les membres du personnel politique (12%), ou même des menaces de mort (27%).
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L’objectif, poursuit la directrice générale et artistique, consiste à ne pas infantiliser le public, tout en évitant de lui proposer quelque chose de trop complexe. Tout un défi, alors que les perspectives sont forcément très différentes, que l’on soit en première ou en cinquième secondaire, par exemple.
Si Larry Tremblay souhaitait explorer les thèmes de la vieillesse, de la perte de mémoire, de l’approche de la mort ou toute autre question qu’il est normal de se poser au crépuscule de sa vie, la tentative est ratée.
La participation de ces citoyens d’ordinaire moins écoutés et vulnérables économiquement, s’avère indispensable à la pertinence des projets de recherche, selon Janie Houle. « Lorsqu’on élabore les politiques publiques, si on ne les écoute pas, on augmente encore les inégalités. »
« Si le fait de participer à des activités liées à la littératie et l’acuité mentale ne sont probablement pas un remède magique contre la démence, si cela est votre objectif et que vous deviez faire un choix, notre étude suggère certainement que ces activités ont de bonnes chances de vous aider à conserver une bonne santé cognitive. »
« Nous sommes une espèce très résiliente qui va trouver des façons de contrer les évènements. Cela peut passer par un déménagement, par exemple. Lorsque cela nous empêche de fonctionner, que cela devient intrusif et que cela nous empêche de dormir et cause une détresse, il ne faut pas hésiter à aller consulter. »
Plus tôt ce mois-ci, l’Association des psychologues américaines a publié pour la première fois des lignes directrices, recommandant entre autres aux parents de suivre de plus près l’usage que font leurs ados des réseaux.
Il faut se rappeler de la complexité de notre matière grise, et de la possibilité qu’il y ait encore bien des mystères à résoudre.
On commence désormais à avoir une idée des interactions entre ces gènes, une connaissance qui aurait été hors de portée des technologies d’il y a 20 ans — et plus général : une « architecture génétique » sous-jacente à ces cinq troubles pourrait être en train d’émerger de cette « cartographie ».
Chez les adolescentes, on en observe aussi un taux plus élevé que jamais (57 %) qui se disent « continuellement tristes ou pessimistes ».