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Let me get this out of the way. I am not an avid advocate or opponent to review sites like www.imdb.com and Rotten Tomatoes. I admit, the score does influence me slightly, but it’s not often I will refuse to see a film based on it. However, movies with a rating of 60% or a 2.5 on 5 intrigue me. With a little push in either direction, they can be works of art to absolute failures. What does it take to take a movie out of mediocrity?

Au Canada, tous les contribuables doivent payer les taxes dont Netflix est exempté même s’ils préfèrent visionner du cinéma indépendant et local en salles. Les consommateurs argentins qui consomment Netflix devront payer une taxe dès le 27 juin, rapporte La Nación le 26 mai.

Améliorer l’accès au numérique des immigrants aiderait à mieux les outiller et à faciliter leur intégration: en plus d’offrir un accès à des ressources pratiques sur le marché du travail et sur la culture canadienne, cela aiderait à faire des ponts entre les communautés, selon une nouvelle étude québécoise.

Si les fausses nouvelles voyagent plus vite que les vraies, comme l’a (à nouveau) souligné la semaine dernière une étude qui a fait beaucoup parler d’elle, c’est parce que « la polarisation est un excellent modèle d’affaires ».

Quel est le lien entre la « santé naturelle » et une théorie du complot sur les 17 morts de l’école secondaire de Parkland, en Floride? Aucun, sinon, un exemple des sources d’informations plus que douteuses auxquelles s’alimentent les lecteurs d’un des sites de « médecine alternative » les plus populaires du monde, Natural News.

Elles ont fait beaucoup parler d’elles, mais les fausses informations propagées par les réseaux sociaux auront peut-être moins d’impact qu’on ne le craint: en politique du moins, il semble qu’elles rejoignent avant tout les gens déjà convaincus.

Même trois ans après son entrée en vigueur, la loi canadienne anti-pourriel (C-28) demeure encore méconnue pour plus d’un utilisateur du marketing par courriel sur deux. Voilà ce qui ressort d’un coup de sonde effectué par la firme Cyberimpact.

Presque un Canadien sur trois (32 %) consulte régulièrement des applications sur la santé. Chez les 35 ans et moins, c’est même un sur deux (51 %). Ces chiffres contenus dans une récente étude québécoise soulignent avec force la popularité des objets connectés, mais passent sous silence la difficulté d’une certaine tranche de la population à s’approprier ces technologies — à l’instar des professionnels de la santé.