À force de vouloir garder un rythme effréné, on en vient à se demander si l’on n’assiste pas à une version théâtrale d’une sitcom des années 1990, un genre de Watatatow sur les stéroïdes où tous les sujets un peu troublants sont concentrés en un seul épisode. Et cela est bien dommage pour S’enjailler, qui a autrement le mérite de sortir des sentiers battus.
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Aussi drôle que profond, aussi revendicateur que forçant à la réflexion, Tueuse de joies patriarcales est une autre pierre qu’il est nécessaire d’ajouter à l’édifice d’un monde meilleur. À lire.
Un classique? Probablement pas. Sauf que nous sommes loin de l’échec anticipée par l’affiche, ce qui est déjà ça de gagné.
Astérix et sa bande ont fait vibrer des générations de lecteur petits et grands depuis les années 1960, et c’est un grand plaisir de constater que l’esprit de la série est toujours bien vivant dans L’iris blanc. Il s’agit d’un album très réussi, que les amateurs de bandes dessinées seront heureux de retrouver sous le sapin.
Le florilège étonne toujours et le public (tout comme les fantômes de La Tulipe) espère vivement une nouvelle guirlande de contes, l’an prochain. Mais avant de partir, faisons une dernière prière. Pour que le père Noël, quand il descendra du ciel, n’oublie pas notre petit soulier, assurons-nous de rester sages (ou pas) toute l’année.
Avec un talent fou, cinq artistes incroyables (Natalie Lecompte, Pierre Brassard, Benoit Paquette, Monika Pilon, Marie-Eve Sanfaçon, Marc St-Martin) proposent un spectacle de théâtre et de music-hall, dans lequel ils dansent, chantent, imitent et jouent la comédie pour amuser le public.
Franchement sympathique, voire carrément drôle par moments, Bernadette est un hommage en demi-ton, un documentaire mâtinée de fiction. Si l’on ne donne pas dans le biopic dramatique, Catherine Deneuve mène ce Bernadette d’une main de maître, et justifie à elle seule le visionnement de ce film.
Empoignez votre tasse et votre agrafeuse, et préparez-vous à venir au bureau, ce weekend.
Bottoms s’approprie les codes et la formule des films d’adolescents à l’école secondaire pour les triturer et les transformer en quelque chose de parfois violemment différent.
L’histoire toute simple de La Grande Séduction, son humour bon enfant et l’universalité de ceux-ci font en sorte que la magie opère partout où elle se déroule, ou presque.