« Le coeur de Pluton est si froid que les pierres sont demeurées très dures et n’ont pas fondu, malgré la chaleur dégagée lors de l’impact, et en raison de l’angle de l’impact et de la vitesse assez basse, le coeur de l’impacteur ne s’est pas mélangé à celui de la planète, mais est demeuré impact, comme une tache. »
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Cette recherche est aussi un rappel que toute affirmation sur la détection d’une « biosignature » — une « signature » dans l’atmosphère qui serait attribuable à de la vie — devra faire l’objet de la plus grande prudence, tant qu’elle n’aura pas été confirmée et re-confirmée par d’autres analyses.
Après les missions habitées, il s’agit maintenant de sondes automatiques, dont les compagnies sont prêtes à échouer pour apprendre de leurs erreurs: il faut donc s’attendre à des résultats moins spectaculaires.
Arrakis pourrait exister autour d’une étoile lointaine. Mais — sans rien enlever aux qualités du roman de Frank Herbert et du film de Denis Villeneuve — pour les vers des sables, c’est plus douteux.
Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.
Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.
L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.
Voyager 2 a quitté la Terre en 1977 pour explorer Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Elle est entrée dans l’espace interstellaire en 2018 et se trouve maintenant à 12,3 milliards de kilomètres de la Terre.
Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.
« Si vous avez une planète de la taille de la Terre, avec davantage de carbone que sur notre monde, qu’est-ce que ça veut dire pour la question de l’habitabilité? Nous ne le savons pas, et c’est cela qui est excitant! »