Pourquoi les cellules, à partir de l’embryon, se divisent-elles en une telle variété de tailles et de masses, tout en gardant une répartition équivalente des différentes tailles?
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L’expérience s’inscrit dans une liste d’expériences de plus en plus longue suscitée par CRISPR et cette capacité à cibler de plus en plus en profondeur à l’intérieur des gènes.
Un même médicament pourrait être libéré à l’intérieur du corps humain à diverses vitesses, sans avoir besoin d’en modifier la composition. « Une fois que nous avons réalisé cela, les possibilités ont été démultipliées. »
On connaît par ailleurs depuis longtemps des « alliances » entre cellules, mais elles prennent plutôt la forme de colonies, où certaines cellules ont des fonctions spécialisées et où toutes restent ensembles, comme si elles étaient devenues un organisme unique.
Même si les cellules des cheveux et des ongles avaient la même « espérance de vie » après la fin de la circulation sanguine, ce serait insuffisant pour une quelconque croissance.
Environ 50 000 cellules, réunies par des centaines de millions de filaments, formant 130 millions de connexions appelées synapses. Le tout, en 3 dimensions: la toute première carte complète d’une partie de notre cerveau. Une toute petite partie.
Une association internationale de chercheurs spécialisés dans les cellules souches vient pour la première fois de toucher à ce qu’on appelle « la règle des 14 jours »: elle fait passer de « interdit » à « autorisé dans certaines circonstances » la possibilité de faire croître un embryon au-delà de cette limite de temps.
Des chercheurs de l’Université de Manchester ont réussi à jeter un nouvel éclairage sur la façon dont notre peau se répare, rapprochant la médecine toujours un peu plus près de la régénération des organes.
Des évêques canadiens et américains en ont pris plus d’un par surprise ces derniers jours, avec des avertissements où étaient évoqués pêle-mêle avortements, embryons et vaccins contre la COVID. Le Détecteur de rumeurs met un peu d’ordre dans ces informations.
Des scientifiques du Francis Crick Institute ont découvert d’importantes similarités structurelles entre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19, et un coronavirus qui infecte les pangolins, ce qui porte à croire que ledit virus pourrait infecter les humains.