Il aurait valu la peine de moderniser les graphiques de Risen et d’arranger les bogues qui existaient déjà lors de la sortie initiale du jeu en 2009. Malheureusement, seuls les nostalgiques ayant passé des dizaines d’heures dans la mouture originale apprécieront ce port, et son expérience passée date.
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Incarner un cultivateur montre la complexité de ce métier, mais sans empêcher le jeu d’être un jeu. Un équilibre très loin d’être atteint par tous les simulateurs.
Pour le 23e épisode de Pixels et préjugés, Hugo Prévost s’entretient avec Sébastien Berton, lead designer pour le jeu Season : A Letter to the Future, de l’entreprise montréalaise Scavengers Studio.
Conviant les joueurs à entreprendre un voyage en solitaire et à archiver les beautés d’un monde avant qu’il ne disparaisse, Season: A Letter to the Future propose une expérience très différente des autres jeux vidéo sur le marché. Si vous privilégiez l’émotion et la réflexion plutôt que l’action frénétique, ce titre saura vous charmer.
Pour le 22e épisode de Pixels et préjugés, Hugo Prévost, Sarah Lajournade-Krug, Louis-Gabriel Parent-Belzile et Francis Beaudry discutent de ce jeu en accès anticipé, mais aussi des titres auxquels ils ont consacré beaucoup… beaucoup d’heures.
On recommande Power Chord pour ceux qui ont aimé Slay The Spire ou d’autres jeux de ce genre, et qui ont un penchant pour le style bande dessinée ou le folklore relié à la musique métal, mais il ne faut pas approcher ce titre en s’attendant à un jeu d’action rapide.
« Les gens qui tendent de le vendre n’ont aucune idée de ce que c’est, et c’est la même chose pour les consommateurs. »
For the 20th episode of the SVGA podcast, Hugo Prévost and Robert Hiltz restart the galactic war between the Terran, the Zerg and the Protoss and try to see if this classic was a gem, or a game that killed a genre.
Fondamentalement, l’idée de Knights of Honor II : Sovereign n’est pas mauvaise. Mais l’exécution est si ordinaire que l’on se prend à vouloir se tourner vers d’autres titres plus spécialisés.
Ultimement, le problème de La vallée qui murmure n’en est pas un d’ambiance, de décor, de narration (les voix en français québécois d’antan sont franchement excellentes), ni même de complexité des casse-tête. C’est plutôt un problème de rythme.