Pierre-Paul Noreau, le président du CPQ, répond aux questions de Hugo Prévost sur le fonctionnement du Conseil, les défis liés aux médias numériques, les enjeux de financement et la question de l’indépendance de l’institution.
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Effet possible des réseaux sociaux, ce sont les 18-24 ans qui sont les moins susceptibles d’avoir vu passer une nouvelle sur le climat dans la dernière semaine (42 %), à l’opposé des 55 ans et plus (71 %).
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
On est devant des groupes qui, pour défendre leur idéologie, ont désormais un intérêt personnel ou politique à miner la légitimité des régimes démocratiques. Et la désinformation les sert bien —avec un coup de pouce des algorithmes des réseaux sociaux.
La compagnie qui développe ce jeu vidéo, Bohemia Interactive, basée en République tchèque, a publié une note à ce sujet le 10 octobre — en fait, une mise à jour d’une note qu’elle avait publiée au début de la guerre en Ukraine.
« Plus que jamais, le journalisme nécessite un socle éthique solide et largement reconnu. Avec nos partenaires, nous appelons les journalistes, médias et rédactions du monde entier à s’approprier ces principes, à les proclamer, et à les décliner dans leurs pratiques. »
Au dire des chercheurs, l’analyse suggère que les efforts visant à éduquer le public à propos des deepfakes pourrait saper, par inadvertance, la confiance envers les véritables vidéo.
L’avantage de faire soi-même des vérifications élémentaires — vérifier la source, chercher une deuxième source — c’est que cela permet de ralentir la dissémination de désinformation.
Dans la dernière année, dans la foulée de la mise à pied des équipes chargées de la modération des contenus sur Twitter, plusieurs analyses avaient démontré une montée en flèche de la désinformation, y compris en science, et des propos haineux.