Pendant moins de deux minutes, ces 100 000 personnes rassemblées au Parc Jean-Drapeau ont ajouté leur voix à ce cri civilisationnel, qui retentit depuis la nuit de temps: nous sommes là. Et puis, l’instant a pris fin.
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L’insistance des élus républicains à voter une loi sur quelque chose qui n’existe pas, voire quelque chose qui jongle avec les pseudosciences, a poussé un élu démocrate à proposer à la blague un amendement à la loi, qui protégerait le Tennessee contre le yéti et le Bigfoot.
On en a ainsi recensé 98 par an entre 2016 et 2020, contre 75 par an entre 1979 et 1983.
« Ce n’est pas une question de « si », mais bien une question de « quand », lorsque l’on parle du moment où les communautés côtières seront entièrement inondées. »
Ça ne devrait pas être une surprise, considérant à quel point les humains, avec leur croissance démographique des deux derniers siècles, ont considérablement augmenté leurs contacts avec toutes sortes d’espèces animales.
Selon une récente estimation, les inondations auraient tué en moyenne un peu plus de 7000 personnes par année à travers le monde entre 1960 et 2022. Et le risque d’inondation augmente à mesure que la température moyenne augmente.
Le fait qu’il y ait un aussi grand écart entre les estimations officielles et réelles a de quoi inquiéter ceux qui mesurent le risque à long terme: le méthane est un gaz à effet de serre dont le potentiel de réchauffement « sur 100 ans » est au moins 25 fois plus élevé que le CO2.
Cette recherche est aussi un rappel que toute affirmation sur la détection d’une « biosignature » — une « signature » dans l’atmosphère qui serait attribuable à de la vie — devra faire l’objet de la plus grande prudence, tant qu’elle n’aura pas été confirmée et re-confirmée par d’autres analyses.
Là où des professionnels des relations publiques étaient jadis incontournables pour faire passer le message de l’industrie, aujourd’hui des polémistes sur les réseaux sociaux peuvent être très efficaces.
Si la tendance se maintient, écrivent des chercheurs le 7 mars dans la revue Scientific Reports, le nombre de décès par « événement » pourrait s’élever à 5 millions en Norvège et au Canada, et à un peu plus d’un million au Royaume-Uni, les trois principaux pays touchés.