Dans l’état actuel des choses, « la crédibilité de l’Europe est exceptionnellement élevée », en dépit du fait que sa cible de 55% est déjà plus élevée que celle de la plupart des pays du reste du monde industrialisé.
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Il faut aussi se rappeler que certains de ces systèmes sont intereliés. Cela signifie que le fait de dépasser un seuil critique chez l’un accélère le dépassement d’un seuil critique chez l’autre.
Agir de la sorte, en taxant le CO2 plutôt qu’en utilisant un système de droits d’émission, est non seulement plus efficace sur le plan environnemental, écrivent les chercheurs, mais s’avère aussi être la méthode la plus efficace pour partager le fardeau de la lutte contre les changements climatiques.
Le gouvernement allemand a déjà annoncé qu’il n’étendra pas l’offre, qui lui aurait coûté environ 2 milliards et demi d’euros.
D’autres experts de l’atmosphère ont émis l’hypothèse — ce qui a été confirmé dans une recherche parue en mars dernier — que la couche d’ozone était suffisamment sensible pour que la fréquence accrue d’incendies puisse ralentir ce retour à la normale.
Le Québec était pratiquement autosuffisant jusqu’aux années 1950, mais la variété dans nos assiettes était beaucoup plus limitée. Le consommateur serait-il prêt à s’adapter?
« Ce que suggère réellement cette étude, c’est que lorsque cela est faisable, sur les plans économique et environnemental, ramener le bison pourrait avoir un effet positif encore plus marqué sur la préservation de la biodiversité. »
« L’adaptation des arbres aux changements est plus lente que la vitesse à laquelle surviennent les changements climatiques. Certains profitent des hivers doux mais pour que cela se répercute sur la croissance, c’est un casse-tête. »
La dangereuse pollution au méthane liée à nos déchets découle du pourrissement de nos déchets organiques : que ce soit de la nourriture, du bois ou même du papier, leur décomposition se traduit par des émissions de ce gaz.
Selon un rapport de février dernier du Centre de collaboration nationale en santé environnementale, il « n’existe aucune étude épidémiologique sur l’ingestion de microplastiques par l’humain à l’heure actuelle »