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C’est sous la bannière de l’économie protectionniste que Donald Trump relance les deux projets de pipeline Keystone XL et Dakota Access. Même si ces projets restent grandement controversés, le nouveau président américain promet richesse et emplois au peuple américain au détriment de la protection de l’environnement.

Rapide comme l’éclair, le président Donald Trump enchaîne les signatures de décret à la vitesse où il envoie des « tweets ». Mercredi dernier, il a autorisé de par son trait gras la construction d’un mur le long de la frontière sud au détriment de l’environnement et de la diplomatie.

Le 10 janvier dernier, Justin Trudeau annonçait la nomination de Chrystia Freeland en tant que nouvelle ministre des Affaires étrangères du Canada pour assurer la succession de Stéphane Dion qui se voit dans l’obligation de quitter la vie politique.

À un pas de l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis, qui peut prétendre que les règles du jeu dans les relations publiques politiques n’ont pas changé?

Afin d’amortir l’impact de l’arrivée au pouvoir de M. Donald Trump à la présidence des États-Unis, le premier ministre canadien Justin Trudeau a nommé le 10 janvier l’ex-ministre du Commerce international, Chrystia Freeland au poste de ministre des Affaires étrangères. Cette dernière a déjà fait ses preuves envers la Russie et la Wallonie.

En tandem avec son homologue russe, le président Donald Trump a tweeté le 22 décembre qu’il était en faveur de renforcer et d’accroître la capacité des États-Unis en matière d’armement nucléaire. En parallèle, un citoyen russe pilote le mouvement indépendantiste californien, d’après le quotidien catalan La Vanguardia du 10 décembre.

Bien que le président américain Barack Obama et le premier ministre canadien Pierre Elliott Trudeau soient sortis ennoblis de leur visite à Cuba, la grandeur du commandant de la Révolution cubaine, Fidel Castro est d’avoir dit « non » à l’appropriation du continent par les États-Unis.

Quoiqu’on dise pour critiquer la candidate démocrate Hillary Clinton, il y aura toujours quelqu’un pour nous rappeler qu’elle est bien moins pire que le candidat républicain Donald Trump. N’empêche que pendant que le parti démocrate se contredit pour le pouvoir, le citoyen moyen reste captif de l’industrie du crédit, ancrée dans la société américaine bien avant que le candidat grossier pose sa candidature.

Si l’équipe de Donald Trump espérait lui faire gagner des votes en répondant au questionnaire sur la science, elle n’y a pas mis beaucoup d’efforts. Les réponses soumises par le candidat républicain se distinguent d’abord de celles d’Hillary Clinton par… leur brièveté.

Donald Trump a jugé mercredi que le président russe Vladimir Poutine faisait un meilleur chef d’État que Barack Obama, tentant de s’imposer dans un forum télévisé face à Hillary Clinton comme le mieux à même de réaffirmer la puissance américaine.