Browsing: Culturel

Il n’y avait rien d’habituel lors de la première soirée de la série de concerts de l’OSM qui débutait le 15 mai dernier. Tout d’abord, nous devions entendre le pianiste russe Daniil Trifonov – soit l’un des plus brillants jeunes artistes de sa génération – interpréter le troisième concerto de Rachmaninov. D’autre part, nous retrouvions pour la première fois la jeune chef d’orchestre Karina Canellakis à la direction de l’orchestre.

Véritable désastre dont on ne peut tout simplement rien sauver, Drunk Parents, renommé Parents Indignes au Québec en version française, suscite le désarroi et la compassion autant pour ceux à l’écran que ceux devant, tous prisonniers d’un épatant naufrage. Le résultat est désormais disponible en DVD.

S’il met en vedette une actrice bien en chair plutôt qu’une femme au physique de mannequin, le film Isn’t It Romantic, disponible dès aujourd’hui en Blu-ray et DVD, ne s’éloigne pas beaucoup des clichés de la comédie romantique, qu’il tente pourtant de parodier.

Pour clore sa saison théâtrale, le TNM présente La nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé, une œuvre originale de Michel Marc Bouchard, mise en scène par Serge Denoncourt avec de beaux décors et six acteurs excellents. Le contraste des mentalités entre Québec traditionnel et Québec moderne, ainsi que les secrets de famille sont au cœur de l’histoire; une histoire un peu tirée par les cheveux pour le moins.

Nul besoin de connaître Paige, l’étoile de la WWE dont il relate le parcours, ni même de s’intéresser à la lutte, pour apprécier Fighting with My Family, un film biographique qui séduira le grand public par son excellent sens de l’humour, et sa grande humanité.

Seriez-vous prêts à partager certaines informations personnelles pour pouvoir continuer à lire cette critique? C’est déjà sans doute un peu le cas  – merci aux annonces publicitaires fournies par Google –, mais le documentaire HAK_MTL, réalisé et scénarisé par Alexandre Sheldon, représente un rappel fort utile: on vous surveille, et certainement pas pour votre bien.

Le livre ne paie pratiquement pas de mine. Réimprimé sur du papier sans éclat, auquel on a rajouté une simple couverture cartonnée sans fioritures, le roman donne l’impression d’être une oeuvre parmi tant d’autres. Et pourtant, Sarcellopolis, écrit par Marc Bernard en 1963 et récemment réédité aux éditions Finitude, est un petit bijou de la littérature contemporaine.