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À la Maison symphonique de Montréal, le 5 juillet dernier, avait lieu une soirée plutôt spéciale. Il s’agit de la presque rencontre de deux mondes musicaux dans le cadre de deux festivals de musique concurrents : le Festival d’orgue de Montréal, associé au Festival international de jazz de Montréal. Le seul véritable objet commun entre les deux spectacles présentés ce soir-là? Le grand orgue Pierre-Béique, cette merveille issue du génie de Casavant Frères.

Alors que se poursuivent les célébrations du 375e anniversaire de Montréal, le Musée des Beaux-Arts vise à ramener la métropole à l’époque des grands chambardements sociaux, politiques et culturels de la fin des années 1960 avec Révolution, une exposition présentée jusqu’en octobre. N’oubliez pas votre petit livre rouge et votre fleur au canon!

À l’occasion du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, est né le Festival d’orgue de Montréal, en collaboration avec l’American Guild of Organists, le Collège royal canadien des organistes et le Concours international d’orgue du Canada. Les organisateurs nous annoncent ainsi le plus grand rassemblement d’organistes qu’on ait vu d’un océan à l’autre.

La version numérique du disque traîne depuis un bon mois et demie dans l’ordinateur de ce journaliste, mais le problème demeure. Et alors que l’album lui-même sort officiellement en début de semaine prochaine, bien heureux celui ou celle qui arrive à tirer quelque chose de ce Digital Empire, du groupe Elevn.

Samedi soir dernier, à la Maison symphonique, les Violons du Roy et La Chapelle de Québec présentaient le demi-opéra Le roi Arthur d’Henry Purcell. Sous la direction du fondateur des Violons du Roy, Bernard Labadie, les solistes invités étaient Anna Prohaska, soprano; Daniel Moody, contre-ténor; Andrew Staples, ténor; Tyler Duncan, baryton.

Le roi de l’électro-pop, la légende Française Jean-Michel Jarre (JMJ) présentait jeudi à Montréal son deuxième spectacle en carrière sur le sol canadien. Après avoir enflammé la ville de Toronto mardi soir, c’était au tour du Centre Bell de subir ce raz-de-marée d’effets visuels immersifs concocté pour la toute première fois par le parrain de la musique électronique.

Décrit comme un « opéra performance pour voix solo et bande électroacoustique », Yo soy la desintegración, œuvre de Pauline Vaillancourt, reçoit un second souffle 20 ans après sa création. Présenté dans l’intimité de la Cinquième Salle à la Place des Arts, on était en droit de s’attendre à un bouleversement en huis clos. Mais ce déchaînement a-t-il eu lieu?

Il y a de ces disques qui transportent, qui caressent, qui font voyager dans un cocon éthéré. Le trio Wilsen, en direct de Brooklyn, offre un tel cadeau avec son premier album I Go Missing In My Sleep, qui aboutira vendredi 28 avril dans les bacs des disquaires.

Voilà probablement près d’un mois que le lien vers un nouveau disque de musique traîne quelque part dans la boîte de réception de ce journaliste. Et cela fait aussi probablement près d’un mois que l’album en question résiste à toutes les approches habituelles pour en faire la critique.