Browsing: Cinéma / Télévision

Une colonie est excellent. Il n’est ni extraordinaire, transcendant ou révolutionnaire. Il n’en demeure pas moins remarquable et, surtout, porté par la performance immense de la non pas moins fascinante Émilie Bierre.

Qualifié de misogyne, à tort, parce qu’il racontait des histoires d’amour hétérosexuelles, est l’une des bribes que nous largue le cinéaste André Forcier au long du moyen-métrage Des histoires inventées (2018) de Jean-Marc E. Roy. Projeté à la Cinémathèque québécoise dès le 25 janvier, le documentaire donne envie de revoir la cinématographie indélébile.

Des clones, un scientifique (peut-être) fou, une maison magnifique recelant d’horribles secrets: l’univers d’Elizabeth Harvest évoque des thèmes connus, mais le traitement mis de l’avant par le scénariste Sebastian Giuterrez a retenu l’attention de l’équipe de Rembobinage pour ce 7e épisode.

Après la comédie musicale et Hollywood, Damien Chazelle, le réalisateur de La La Land, se tourne vers les vraies étoiles cette fois-ci avec First Man, un film biographique consacré à l’astronaute Neil Armstrong.

There are some characters out there who are perfect candidates for their own series. They’re developed enough to have more than one layer, and have potential for new threats and ways to grow.  Iron Man, Daredevil, and potentially Captain Marvel are great examples. There are others who work better as a supporting character and have difficulty making it on their own. It’s the reason the Hulk won’t have a solo move anytime soon. The Punisher falls in this category, as the first part of his second season can show.

Par cette scène surréelle avec une femme et un crocodile dans un film à énigme politique contemporaine mêlant transport et communication, le cinéaste Pierre Schoeller en avait étonné plus d’un. Après L’exercice de l’État (2011), il porte à l’écran le va-et-vient de la Révolution française de 1789 à 1793 avec Un peuple et son roi (2018), à l’affiche depuis le 18 janvier. 

Adapter une oeuvre à succès au petit ou au grand écran est toujours synonyme de danger. Après tout, qui n’a jamais craint que les versions cinématographiques d’Harry Potter, Le Seigneur des Anneaux et tant d’autres univers particulièrement populaires soient au mieux passables, ou au pire, complètement ratées? Heureusement, en transposant l’excellente saga de science-fiction The Expanse, SyFy a relevé le défi avec brio.

Mettant leur notoriété de côté, ou presque, Adib Alkhalidey et Julien Lacroix ont eu la folle et stressante envie de se lancer dans le vide et de s’offrir tout un défi: faire un long-métrage par passion et non par moyens. Le résultat, intitulé Mon ami Walid, était présenté au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts mardi soir dernier.

It’s a story as old as the Arthurian legend. A young plucky kid discovers that there’s more to this world than they originally expected. Adventure and duty are thrust upon them, and they make the selfless choice to claim victory with a little help from their friends. The Kid Who Would Be King is director and writer Joe Cornish’s attempt at tackling this genre.