Combien sommes-nous prêts à dépenser pour revenir à la « vie d’avant »?
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Le pic de la plus récente vague de COVID-19 a été de… 83 cas par jour en Nouvelle-Zélande.
Avec le prolongement des mesures sanitaires est venu un accroissement des comportements violents envers les membres de la communauté scientifique.
Après l’ouragan, ce sont les dégâts aux installations industrielles qui entraîneront des conséquences environnementales de grande envergure.
La pandémie aura forcé les spécialistes en santé publique à en apprendre rapidement davantage sur ces petites particules qui circulent dans l’air.
Même au Canada, plusieurs milliers de doses de vaccin se sont retrouvées à la poubelle.
Il est encore difficile de séparer l’impact des diverses mesures sanitaires adoptées dans le cadre de la lutte contre la COVID-19.
La pollution sonore, parfois plus insidieuse, joue elle aussi un rôle dans la dégradation des écosystèmes du Saint-Laurent.
Qu’arrivera-t-il aux intellectuels, aux chercheurs, aux étudiants afghans, après le retour des talibans, un groupe extrémiste et obscurantiste?
Il faudra probablement encore plusieurs années pour que la couche d’ozone revienne à la « normale ».