Il faudrait attendre les années 1930 avant que l’ingénieur britannique Guy Callendar, analysant les données météorologiques des dernières décennies à travers le monde, ne devienne le premier à identifier une tendance généralisée à la hausse des températures.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Ce serait plutôt la petite taille du cerveau de l’oiseau de même que son orientation particulière dans la boîte crânienne qui diminuerait le risque de commotion.
Cependant, les essais cliniques chez l’humain sont encore bien loin. En effet, les matériaux utilisés, en particulier les particules magnétiques qui sont composées de néodyme, de fer et de bore sont toxiques pour les cellules humaines.
En 2020, des chercheurs européens ont reconstruit le génome de quatre souches du virus de la syphilis récupérées sur des restes humains provenant du nord de l’Europe. Leurs analyses ont permis de conclure que le pathogène était présent en Europe avant les voyages de Christophe Colomb.
Il vaut mieux être beau si on est un animal qui veut susciter la sympathie et attirer du financement. Les chevreuils de Longueuil pourraient en témoigner, s’ils pouvaient parler.
La loi qui vient d’être adoptée propose donc une nouvelle façon de gérer le site pour conserver l’harmonie entre la science, l’écologie, l’environnement, les ressources naturelles, les pratiques culturelles et l’éducation.
Selon une expérience réalisée auprès de 27 participants, les hommes qui ont passé 25 minutes au soleil disent avoir plus faim et leur niveau de ghréline sanguin est plus élevé.
Une diminution temporaire a aussi été observée après des grippes : il est donc possible que le sperme soit sensible aux changements de température du corps.
Les lignes directrices actuelles sur la qualité de l’eau, établies par les gouvernements en Amérique du Nord et en Europe, ne protègent pas adéquatement les réseaux trophiques lacustres, et ça, c’est lorsqu’il existe de telles lignes directrices.
Parce qu’il est petit et contient peu de gènes, le chromosome Y ne serait pas toujours essentiel à la survie des cellules, ce qui expliquerait sa disparition fréquente. De plus, certaines variations génétiques pourraient augmenter les risques qu’il disparaisse.