Ici et là, on devine l’existence d’un rituel: par exemple, rapportait une recherche en novembre dernier, dans des sites de la période dite magdalénienne en Europe —il y a 12 à 17 000 ans— les ossements humains qui portent des marques ont été placés séparément des os d’animaux.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
En théorie, un pays pourrait règlementer l’usage des données personnelles d’une personne après son décès. Mais en l’absence d’interdit, l’état actuel de la technologie n’est pas si loin de pouvoir permettre cette « expérience ».
Arrakis pourrait exister autour d’une étoile lointaine. Mais — sans rien enlever aux qualités du roman de Frank Herbert et du film de Denis Villeneuve — pour les vers des sables, c’est plus douteux.
Même la chaleur des océans a été qualifiée « d’extrême », la moyenne de février ayant battu le record précédent… qui ne remontait qu’à août 2023.
En décembre, il avait été conclu que les 2 millions d’habitants de ce territoire faisaient face à une « insécurité alimentaire du niveau d’une crise ou plus ».
MethaneSAT n’est pas le premier engin du genre: 12 petits satellites canadiens (chacun de la taille d’un four à micro-ondes) gérés par la compagnie GHGSat, contribuent à identifier des sources d’émissions de méthane et de C02.
Les différents pays retournent chez eux avec une « invitation » à une transition en théorie plus rapide que celle qu’ils ont entreprise, sachant qu’un grand nombre d’entre eux ne sont pas sur la voie d’atteindre en 2030 les cibles de réduction des gaz à effet de serre qu’ils avaient mises sur la table en signant l’Accord de Paris en 2015.
Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas vraiment de mâle alpha dans les meutes de loups. Il y en a bel et bien chez les primates, mais son rôle, du moins chez les chimpanzés, est complètement différent de celui auquel aiment bien s’identifier les influenceurs masculinistes.
Sur les 11 000 mots de la 4e version du texte final de la COP28, « carburants fossiles » ne revenait que 3 fois —toutes trois dans le paragraphe hautement contesté qui stipulait que les parties « pourraient », à leur convenance, choisir des actions qui inclueraient, entre autres, une réduction des carburants fossiles.
Il a fallu attendre 2023 pour lire pour la première fois — dans la quatrième version du brouillon du texte final de la COP28 — le choix de s’engager à réduire « la consommation et la production » des carburants fossiles —,mais « d’une manière juste, ordonnée et équitable ».