Il y a exactement un an cette semaine, des signaux d’alerte quant à l’épidémie sévissant alors en Chine se faisaient entendre un peu partout. Il allait toutefois falloir plus d’un mois avant que la plupart des pays occidentaux ne réagissent.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Un poisson d’eau douce australien vient de battre le record du plus gros génome connu: 43 milliards de paires de base, ce qui est 30% plus gros que le détenteur du précédent record, et 14 fois plus gros que le génome humain.
La colère est mauvaise conseillère, disaient nos ancêtres. Aujourd’hui, on pourrait dire qu’elle rend plus vulnérable à la désinformation.
S’il ne fait pas de doute que le port du masque a un impact contre la COVID-19, il reste difficile de mesurer cet impact avec précision. Mais l’extrême variété des situations aux États-Unis tend à conclure que les régions où le port du masque est au plus haut, sont aussi celles où le taux de reproduction du virus est au plus bas.
Les écoliers émettent des aérosols dans leurs salles de classe, les aînés dans leurs résidences, les travailleurs sur leurs lieux de travail. Nous émettons tous des aérosols. Pourquoi le terme est-il devenu si important ces derniers mois? Le Détecteur de rumeurs explique.
Comment peut-on savoir que l’odorat était important chez certains dinosaures? En examinant une partie de leurs derrières.
Parmi les quatre priorités scientifiques les plus urgentes auxquelles fera face le gouvernement de Joe Biden, il y en a une qui tranche: « rétablir la réalité ».
La proportion de dioxyde de carbone dans notre atmosphère est minime, ce qui est un des arguments préférés de ceux qui nient son effet sur le climat. Mais elle a beau être minime, elle augmente tout de même depuis plus de 150 ans, explique le Détecteur de rumeurs.
Le déclin des populations d’insectes pourrait atteindre jusqu’à 1 ou 2% par année, selon une série de 11 études qui ont tenté d’évaluer l’ampleur du problème à l’échelle de la planète — et qui, en même temps, soulignent la difficulté à faire ces calculs.
Les élèves sont de retour en classe ou derrière leurs écrans. Et de nombreux chercheurs n’ont pas caché leurs inquiétudes. « Je crains pour le second bulletin. Il y a eu la très longue glissade au printemps, les pertes de temps d’apprentissage à l’automne. Ce bulletin sera plus difficile à rattraper pour de nombreux élèves qui sont déjà en difficulté », résume le psychologue et spécialiste de la réussite et de l’adaptation scolaire, Égide Royer.