L’auteure nous présente des personnages francs et directs, pour qui l’hypocrisie est pratiquement inconnue. Malgré l’absence d’une réelle intrigue, les moments de suspense ne manquent pas et on n’étire jamais la sauce pour tenter de les faire durer.
Auteur/autrice : Martin Prévost
C’est à se demander si son roman s’adresse à des adolescents en quête de romantisme. On trouve là très peu de choses pour maintenir l’intérêt du lecteur.
Pour terminer la saison chaude, trois romans bien différents attirent l’attention de notre journaliste Martin Prévost, qu’il s’agisse de littérature scandinave, québécoise ou sud-américaine.
Peut-on parler d’efficacité dans l’horreur? Oui c’est possible et Thornley nous en fait la démonstration. Trois ou quatre phrases du journal intime d’un meurtrier suffisent à troubler le lecteur qui se demandera s’il souhaite vraiment poursuivre sa lecture.
Empreint de spiritualité et ponctué d’une très belle poésie, ce premier roman est une grande réussite. Mais ce n’est pas tellement pour le style qu’on a envie d’en terminer la lecture, mais plutôt pour en ressentir toute l’émotion.
Il faut souligner le travail remarquable de la clarinettiste Valentin Pennisi ainsi que la très belle prestation du violoniste Andres Romero Guzman et du corniste Julien Moussa.
Quand on leur demande si elles ont un message à passer, elles disent souhaiter que les jeunes musiciennes comprennent qu’elles peuvent réussir aussi bien que les hommes.
Il faut courir aller voir ce spectacle, un des plus réussis que nous avons pu voir à Montréal complètement cirque au cours des dernières années.
Avec ce recueil, Jean-Christophe Cloutier nous permet de découvrir ou de redécouvrir un auteur remarquable dans ce qu’il a de plus personnel : sa langue maternelle.
Pour ajouter une touche conviviale à cette soirée plutôt sérieuse, le chef a respecté la tradition et à invité l’auditoire à chanter le dernier choral de la BWV 33. Ça aussi, ça fait partie de la communion avec le public.