Le plus récent roman d’Ahmed Tiab est paru dans la collection Aube noire, chez les Éditions de l’Aube et s’intitule Adieu Oran. Ce n’est pas la première fois que cet Algérien qui vit en France depuis près de trente ans, écrit sur sa ville natale, Oran. Et, visiblement, il a encore des choses à en dire.
Auteur/autrice : Martin Prévost
C’est aux éditions Boréal qu’est parue, cet hiver, la toute première traduction en français d’un ouvrage de Gary Barwin, Le Yiddish à l’usage des pirates. L’auteur, né en Irlande du Nord, de parents sud-africains, vit au Canada depuis sa jeunesse. Il a été lauréat du Jewish Literary Award, finaliste aux Prix du Gouverneur général et au prix Giller.
Du 29 mai au 9 juin, à la TOHU, a lieu le spectacle des finissants de l’École nationale de cirque. Lors de la représentation du 30 mai, nous n’avons pas été très impressionnés. Ce n’était pas, et de loin, la meilleure mouture à laquelle nous avons pu assister. Cependant, la variété était au rendez-vous avec pas moins de 16 disciplines représentées. On nous en avait annoncé une 17e, la roue allemande, mais elle était finalement absente du programme.
Samedi dernier, à l’église St-Jean-Baptiste, à Montréal, l’Orchestre à vent non identifié a fait salle comble avec son programme autour de la musique des films de la série Harry Potter. Pour l’occasion, le directeur musical Jonathan Dagenais s’était adjoint les services du chœur de St-Laurent pour la deuxième partie du programme.
Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.
Le Festival international du Domaine Forget de Charlevoix nous a habitués à des programmations variées et de haut calibre et celle de la 41e édition ne fait pas exception. Au contraire, elle en rajoute une couche.
La semaine dernière, l’Orchestre symphonique de Montréal présentait les Rendez-vous Mozart, une programmation prestigieuse avec des invités de renommée variée, répartie sur quatre jours. Pour clore ces rendez-vous, ce vendredi, le chef invité Hervé Niquet était à la barre de l’OSM et de son chœur. Le programme était simple, mais prometteur: la Symphonie no 41 en do majeur K. 551 « Jupiter » et le Requiem en ré mineur K. 626.
Lundi dernier, à la Salle Bourgie, avait enfin lieu le concert Tchaïkovski et Tétreault avec l’Orchestre de chambre de McGill, sous la direction de Boris Brott. On aura deviné que le Tétreault du titre c’était Stéphane Tétreault, le violoncelliste québécois dont tout le monde parle, encore. Enfin, parce que le concert a dû être reporté de plusieurs semaines pour permettre au soliste invité de guérir d’une blessure à un doigt.
Le tout nouvel album de Mélisande McNabney, claveciniste, est paru chez ATMA Classique sous le numéro ACD2 2780 et s’appelle Inspirations. Il est le résultat d’un travail de recherche intéressant qui met en valeur des compositeurs moins connus comme Jean Henry D’Anglebert et Antoine Forqueray aux côtés du grand Jean-Philippe Rameau.
Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.