On garde quand même un souvenir lumineux de l’exercice qui éveille les sens à la différence, à la tolérance et à l’ouverture et qui finit par faire du bien, les mélodies aussi surprenantes que facilement reconnaissables de Thomas Newman en prime.
Auteur/autrice : Jim Chartrand
Cœur de slush déçoit pour bon nombre de raisons. On lui reprochera surtout, cependant, de ne pas avoir pu s’approprier de manière plus gagnante toutes ces belles opportunités qui se trouvaient sur sa route.
Ce The Little Mermaid est relativement dans la même veine que les autres relectures en prises de vue réelles, mais du côté des titres plus réussis, parce qu’on s’y plaît à plus d’un moment, majoritairement en raison de l’enthousiasme généré par l’ensemble.
Guardians of the Galaxy vol.3 est la marque évidente d’un créateur et probablement le meilleur exemple pour voir si on l’apprécie vraiment, au final. Le film est à mi-chemin entre la commande et son désir de finalement s’émanciper pour ce qu’il est vraiment, pour le meilleur et pour le pire.
Il serait dommage de gâcher son plaisir, puisque si le film est un peu long, avec Romain Duris (plus à l’aise que dans la collaboration précédente avec le réalisateur), Vincent Cassel et Pio Marmaï en plus au programme, on passe certainement un moment loin d’être déplaisant.
Voilà donc un spectacle enchanteur qui prévaut par son enthousiasme contagieux, oui, mais aussi pour un amour évident du cirque et d’un désir d’émerveiller.
Chevalier est certes un film de commande et est loin d’être le résultat d’un projet passionnel, même si le sujet peut certainement prendre aux tripes et que ses artisans y démontrent une affection notable.
Un film qui ne passe certainement pas inaperçu et qui risque de poser beaucoup de questionnements peu importe le nombre d’écoutes, peu importe le nombre de réflexions ou même de discussions.
Dans ce qui apparaît comme des désirs plutôt minimalistes en ensemble, gageons néanmoins que la troupe ne manquera pas de matériel pour nourrir nos yeux et notre imaginaire.
John Wick : Chapter 4 fait montre de tout ce qui va mal dans les idées de franchises, dans les sombres recoins du capitalisme et dans la notion d’étirer une sauce jusqu’à ce qu’elle ne lève plus.